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Angela MEJIAS

ST PÉE SUR NIVELLE

En résumé

Installé au pays Basque, photographe indépendante depuis trente, je travaille pour la presse, l'édition... Nombreux reportage en Afrique du nord, Amérique Latine ...

Je propose mes services à toute personne ou entreprise qui désire avoir un support photographique pour se développer dans sa branche. Je travaille en numérique et argentique selon les besoins.


https://www.facebook.com/landaldea2011/
ttps://www.facebook.com/Hendaia-Film-Festival-150989515072671/

Mes compétences :
Artiste
Photographie
Journaliste
Voyages

Entreprises

  • Emanik - Présidente

    2018 - maintenant Une Organisation de Solidarité Internationale
    Une petite équipe mais une grande expérience
    Un programme: la formation professionnelle de jeunse handicapés et de leurs mères
    Campoy, district de San Juan de Lurigancho (Pérou)
    La relation tissée avec le Pérou et plus précisément avec Campoy, quartier de l’immense district de San Juan de Lurigancho (Lima) date de plusieurs années.
    Des liens de confiance réciproque ont été tissés au fil des ans pour aboutir à ce nouveau projet : la formation professionnelle de jeunes handicapés et leurs mamans, en partenariat avec la polyclinique de Campoy et les CETPRO organisme péruvien en charge de la formation professionnelle).
  • Association Begiradak - Directrice

    2013 - maintenant Publié le 21/10/2013 à 06h00
    Par Édith Anselme

    L’essentiel des messages
    FESTIVAL Trois jours de films ont donné un autre visage à Hendaye et au Pays basque

    Impossible de ne pas revenir sur ces trois jours intenses d’Hendaia Film Festival. 712 scolaires ont apprécié cette autre forme de cinéma, et plus de 700 personnes ont été enthousiasmées par la sélection des films. « Il y avait le festival de San Sebastián, celui de Biarritz, maintenant, il faut compter avec celui d’Hendaye. C’est un rêve devenu réalité, une nouvelle histoire qui s’ouvre avec vous, j’espère qu’elle sera longue et riche », a lancé Angela Mejias lors de la cérémonie de clôture samedi soir.

    Le court-métrage, c’est raconter des histoires, c’est une autre forme de récit. L’essentiel doit être dit, et l’essentiel n’est pas toujours aisé à transmettre… Mais au regard de l’émotion du public au terme du festival, et des commentaires échangés sur les marches du petit cinéma des Variétés, le message est bien passé. Hendaia Film Festival a enfin donné un visage au Pays basque. Si les bonnes laminak s’en mêlent, il devrait connaître un bel avenir.

    Entre réalité et fiction

    Les émotions fortes ont commencé jeudi dès la cérémonie d’ouverture. L’humour et le naturel d’Angela Mejias, ont donné le ton de ce festival placé entre réalité et fiction. Elle avait peur d’oublier « quelque chose ou quelqu’un d’important ».

    Mais une salve d’applaudissements a mis un terme à ses craintes ; tous ont salué l’aboutissement de l’initiative commune d’Angela Mejias et de Laurent Dufrêche. Eduardo Manet, le président du jury international, a rêvé à haute voix : « C’est curieux, la télévision cubaine vient de présenter il y a quelques semaines mon film ‘‘El Huesped’’, avait été interdit et que personne n’avait jamais vu. Grand succès, paraît-il, qui me vaut une invitation pour assister au prochain Festival du cinéma pauvre dans la ville de Gibara. Un retour aux sources mais aussi le signe d’une certaine transition dans la vie culturelle entre ‘‘ceux de Miami et ceux de Cuba’’. Mon souhait aujourd’hui, serait qu’un jumelage se créé entre le Festival du ilm pauvre de Gibara et le festival du film court d’Hendaye… ».

    Clélia Ventura, fille de Lino, n’a pas caché son plaisir d’avoir été choisie pour présider le jury de la compétition Aquitaine-Euskadi, «j’adore voir les belles histoires. » Elle a été servie. Mais la réalisatrice a dû trancher, aidée par Sylvia Vargas, productrice de cinéma, de l’humoriste Jules-Edouard Moustic et de José Maria Lara. Pour sa première édition, ce festival a invité le spectateur à voyager à travers les peuples, les cultures et les langues. Le jury a salué « une très belle mais complexe sélection ».

    Après festival prometteur

    Certains des spectateurs et professionnels sont venus de loin pour la première édition de ce festival innovant ; ils n’ont pas été déçus par la qualité des projections.

    Samedi, la remise des prix a été suivie du documentaire de Ramuntxo Garbisu « Sur les pas de Jakes ». Un portrait de Jacques Abeberry, « basque et citoyen du monde » pionnier de la cause basque, figure politique et culturelle de Biarritz, dont les pas personnels se sont mêlés aux pas de l’histoire du pays.

    Il résume tout, sans agression et remue les esprits. Jakes Abeberry a été très applaudi.

    Ce film mériterait d’être diffusé très largement, et non plus en petit comité.

    Mais il y a aura sûrement un « après » Hendaia Film Festival.
  • Begiradak - Directrice et Fondatrice Hendaia Film Festival

    2013 - maintenant Depuis sa création en 2013 par l’association de photographes Hendayaise Begiradak, « Hendaia Film Festival » met l’accent sur la diffusion de films qui accordent de l’importance aux diversités culturelles aussi bien au niveau linguistique qu’au niveau culturel et social. Cet original festival du court-métrage a cinq objectifs principaux :
    - Favoriser les langues minoritaires et les expressions émanant de minorités culturelles ou sociales.
    - Diffuser les films sous-titrés en euskara (basque) et en français.
    - Sensibiliser le public, en particulier les jeunes, au processus de création cinématographique et à la lecture d’image autour de débats et de rencontres avec auteurs et professionnels.
    - Mettre en valeur l’histoire et le patrimoine cinématographique de la région Aquitaine-Euskadi.
    - Favoriser des actions de promotion, de production et de diffusion du court métrage dans la région Aquitaine-Euskadi.
    « Hendaia Film Festival » se déroule à Hendaye, ville transfrontalière avec un écosystème bien particulier dans lequel cohabitent au quotidien trois cultures et trois langues différentes : le français, le basque et l’espagnol. De part sa situation géographique, Hendaye est un endroit unique pour établir un dialogue autour de la culture de l’image, de son histoire et de son évolution dans le cadre d’une interaction
    entre les majorités et les minorités et pour parler, bien sûr, de la réalisation de films en langue basque.
  • PSID (Pompiers Solidaires) délégation Pays Basque/Bearn - Formation à la gestion des risques aupres des responsables communautaires.

    2008 - maintenant Aout 2013
    PEROU / Lima / Districts de Rimac et San Juan de Lurigancho.
    Formation à la gestion des risques auprès des responsables
    communautaires, des comités de femmes, des « juntas vecinales »
    et des différentes organisations de quartier.
    - Formation E.P.C (Education Préventive Communautaire) auprès des
    enseignants et des élèves des districts de Rimac et San Juan de
    Lurigancho.
    - Formation PSC1 et conduite à tenir en cas de séisme auprès de
    personnels Français expatriés et leur famille (ambassade de France,Institut de Recherche et Développement ….)

    Juin 2013
    MADAGASCAR / Région Alaotra Mangoro/ ville d’Ambatondrazaka
    Sensibiliser la population à l’hygiène, Inciter la population à la gestion des déchets
    Faciliter la collecte des déchets

    Décembre 2011

    MADAGASCAR / Région Alaotra Mangoro/ ville d’Ambatondrazaka
    Sensibiliser la population à l’hygiène, Inciter la population à la gestion des déchets
    Faciliter la collecte des déchets

    Juin 2008
    Pérou / "Réduction de risques sociaux à travers la formation
    de groupes de jeunes qualifiés en agents de protection civile participative dans la
    ceinture de pauvreté de Lima"

  • Résidence d'Artiste - Photographe

    2008 - 2008 Un regard croisé entre Pays Basque et Bourgogne

    Le Festival BasKarad interroge l’identité culturelle basque, souvent stéréotypée et longtemps « empêchée », sous l’angle de l’intégration des traditions dans la création artistique actuelle. La programmation balaye un vaste champ de disciplines, avec de la musique, du théâtre, de la danse mais aussi du cinéma, une approche de la littérature en langue basque... L’exposition est l’occasion d’expliquer au public les enjeux du festival, à travers notamment un regard croisé entre une photographe basque et un photographe bourguignon.

    Alors qu’à Dijon, les traditions appartiennent pour la plupart à un folklore qu’on rappelle par devoir de mémoire ou par souci d’authenticité, les coutumes basques se maintiennent au quotidien sans artifice, sans passéisme. Manifestement, les bourguignons fouillent dans le passé pour retrouver des traditions oubliées, tandis que les basques construisent chaque jour leur avenir avec leurs coutumes. C’est la différence de ces comportements culturels vis-à-vis de la tradition dans les deux territoires impliqués, le pays basque et la Bourgogne, que nous souhaitons montrer et tenter d’expliquer par le biais de cette exposition.

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